« Il va de soi que la pratique d’archivage de Jef Geys ne se limite pas seulement à ses gigantesques archives photographiques, mais inclut également son inventaire de toutes les œuvres qu’il a créées depuis ses débuts en 1958. L’inventaire, classé par ordre chronologique, répertorie l’information suivante pour chaque œuvre : « sujet » (le titre de l’œuvre), « nature » (le(s) matériau(x) dont l’œuvre est composée, et parfois les dimensions de l’œuvre), « année », et « nombre » (le nombre de copies, variant de 1 à « illimité »). »

Liesbeth Decan, Conceptual, Surrealist, Pictorial: Photo-based Art in Belgium (1960s – early 1990s), Leuven University Press, 2016, p. 65